Ma série sur les ombres, tout en s’inscrivant dans la question de l’identité et de l’identification du réel, représente un travail centré plus particulièrement sur l’être et sa réalité, l’être et son ubiquité, l’être et sa porosité au monde environnant (qui est aussi le sujet de mes pochoirs), être aux formes évolutives, en projection au-delà des limites de son corps et dans l’entrelacement des impressions clandestines qui le traversent, être molécules d'esprit dans l'espace.
Ma série Fantômes en est une extension naturelle, poursuivant le sujet de l'ontologie de la présence et de l'être, suggérant la superposition ou l'interpénétration de différents plans de réalité, trouvant réconfort aux images permettant de faire surgir la présence réelle de l'irréel.